Sculpteur taxidermiste (et oui encore un) et peintre– Peter Gronquist mèle victimes et prédateurs dans ses oeuvres.
Il essaie d’éviter toute interprétation facile (et c’est pas gagné), et ne donne pas d’explications précises des sculptures qu’il créé.
Dans un style Néo-baroque – Or doré et ultra-brillance, il s’attaque à l’hyper-américanisme en utilisant à double tranchant la symbolique des armes à feu.
Photoshopper John Wilhelm
Si vous aimez les retouches photos, vous trouverez quelques belles perles dans le travail de John Wilhelm… avec pas mal de before / after.. (Suisse)
John Wilhelm is a photoholic -The Horde / retouches photos
Taxidermy hybrid art work de Enrique Gomez de Molina.
Enrique Gomez de Molina – sculptures taxidermy hybrid
De Molina utilise des parties d’animaux et les fusionne pour créer des êtres étranges, un exemple comporte la tête de deux cygnes sur le corps d’une chèvre et une autre montre la tête d’un écureuil en prise avec un crabe.
Des dérives de la taxydermie, l’artiste a plaidé coupable d’avoir importé illégalement des pièces provenant d’espèces en voie de disparition. Des cobras entiers, des pangolins, des calaos, des crânes de babirusa ou de orangs-outans venant de régions partout dans le monde y compris à Bali, en Indonésie, en Thaïlande, aux Philippines ou encore de Chine.
L’artiste affirme qu’il visait à sensibiliser son travail face au danger d’extinction d’une série d’espèces, souhaitant de même représenter les dangers du génie génétique et de l’intervention humaine.
Sur un site Web présentant son travail, il dit : » L’impossibilité d’existence de mes créatures m’amène à la fois de la joie et de la tristesse. «
Sa joie – de voir et de vivre le fantasme de ses œuvres, couplée à la tristesse du fait que nous sommes en train de détruire toutes ces belles choses. (C’est un peu l’hôpital qui se fout de la charité).
[Source in en : Dailymail]
I make work about human and animal nature. I gravitate towards figurative and animal imagery that has a dreamlike quality. I exhibit work locally and nationally. I generally make work under 28” in height as I prefer work that is easily transported, and displayed. I am very much influenced by contemporary figurative art. I force myself to work a certain number of hours per week on the actual hands-on creation of my pieces. I work weather I’m inspired or not. If I don’t have a particular idea, I work anyway and let the ideas come. I don’t believe that inspiration is the motivator of art; I believe hard work is. If you work hard enough, inspiration will come. I research galleries and am not afraid to contact them. The worst they can say is no. I also produce as much as I can. I try to find galleries in which my work would fit. Lately, I have been getting more and more invitations to be in shows all over the country. I find this really flattering and love this new avenue that seems to be opening up for me.
She lives in Buffalo, New York, and is represented by Del Mano Gallery in Los Angeles, California.
Surrealistic Fine Art by Piia Lehti uses mainly different intaglio printing techniques. Her motifs come from a world where the reality overlaps with dreams. People have often changed roles with animals, and their surrealistic environment is full of surprises. The cosiness of Lehtis prints originates from the slightly shabby lines and landscapes, which are comfortably worn out. The pictures reflect the life experienced and lived in different corners of the world. (Finlande)
piia lehti – metsan sylissa / symbolic surrealiste art
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Surrealistic Fine Art by Piia Lehti, elle utilise principalement des techniques d’impressions mixtes. Son univers revele un monde où la réalité se superpose aux rêves. Les gens se changent en animaux de maniere symboliques et surréalistes, d’une grande finesse où le lien avec la nature est omniprésente. J’aime vraiment l’ambiance et le traitement de ses créations.
Une animation à vous rendre végétarien.. Une femme entre dans une boucherie. Là, alors qu’elle se fait belle en contemplant son reflet qui se superpose avec les saucisses et les rillettes de la vitrine, elle commence à fantasmer sur le propriétaire des lieux.
et étant donné qu’une usine remplie de chats et de chiens, (enfermés dans des cages sans eau ni nourriture) a été démantelée en Seine saint-denis, ne vous étonnez pas de retrouver un jour dans le potage de votre restaurant asiatique préféré (en guise d’ingrédient) – une puce électronique..
et pour terminer – et de bon goût à l’approche des fêtes, une belle vitrine de Noel à Barcelone :
Photographer, Peter Marlow – born kenilworth england, 1952. “ I go for photography that overlays and enhances. By blending observation and wit with reason, I want my work to generate a sense of the unexpected, the hidden, and the seemingly spontaneous. ”
Aerial taxidermy art by Claire Morgan, born in Belfast in 1980, and now lives in London.
She graduated from Northumbria University in 2003 with a first class honours degree in Sculpture and is now based in London. Claire has exhibited internationally, with solo and group shows in UK and Europe, and museum shows in US and Australia.
claire-morgan – aerial taxidermy art
« My work is about our relationship with the rest of nature, explored through notions of change, the passing of time, and the transience of everything around us. For me, creating seemingly solid structures or forms from thousands of individually suspended elements has a direct relation with my experience of these forces. There is a sense of fragility and a lack of solidity that carries through all the sculptures. I feel as if they are somewhere between movement and stillness, and thus in possession of a certain energy.Animals, birds and insects have been present in my recent sculptures, and I use suspense to create something akin to freeze frames. In some works, animals might appear to rest, fly or fall through other seemingly solid suspended forms. In other works, insects appear to fly in static formations. The evidence of gravity – or lack of it – inherent in these scenarios is what brings them to life, or death. »
Kate Clark, L’ animal est un homme inexpressif * et je reste dubitative de son travail, n’étant absolument pas fan de la taxidermie en général. [animal is an expressionless man]
Kate Clark is a sculptor who lives and works in Brooklyn, NY. Her work studies the tension between personal and mythical realms by creating sculpture that synthesizes the human face and the body of wild animals.
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Kate Clark – taxidermie art sculpture animal / Human details
« Son concept est né lors de ces études, à l’université d’Ivy League, en lisant le livre « Becoming Human : Evolution and Human Uniqueness » de Ian Tattersall.
Elle s’attarde sur un chapitre sur l’évolution du visage humain. Cette partie du livre traite des changements spécifiques ayant eu lieu sur le faciès humain avec le temps tels que le visage imberbe, le blanc des yeux, les sourcils, … et en quoi ils ont permis de faciliter la lecture d’une grande variétés d’expressions faciales.
Ces oeuvres sont créées à partir de vraie peau animale. Pour la création des têtes, elle sculpte les visages de ces oeuvres de manière à ce qu’elles soient crédibles et réalistes. Les sections de peau qui recouvrait auparavant le visage de l’animal sont rasées de leur fourrure et apposées sur le visage sculpté en prenant soin de faire concorder, par exemple, les cils et les paupières de l’animal avec le pourtour des yeux humains. Cette peau rasée rappelant, par son côté huileux et poreux la peau humaine pour plus de réalisme bien que les coutures et points montrent un travail de reconstitution. Il a fallu de nombreux essais pour qu’elle soit capable de trouver l’équilibre entre les traits faciaux animaux et humains.«
Sculpteur Textile Art de Anne-Valerie Dupond. Formée à la faculté d’arts plastiques de Strasbourg, elle est repérée très tôt par la galerie Edgar à Paris en 2001, et son succès grandit rapidement.
Elle expose aujourd’hui ses œuvres sensibles, surprenantes et poétiques un peu partout à travers le monde. De l’univers enfantin à l’art contemporain, en passant par la déco, son travail touche un large public.(trophées de chasse et animaux en tout genre. Bustes de grands hommes, pin-up, sculptures baroques, …).
Son travail s’exporte un peu partout à travers le monde, et a déjà fait l’objet de belles collaborations (Kenzo, Undercover, le Printemps, Comme des Garçons ,…).
Mixed media Art of Zoe Williams : née en 1983 à Nouvelle-Orleans, elle est titulaire en art textile de l’Université de Washington.
Elle vit et travaille actuellement à New York.
« Esprits, créatures sacrées, et les fantômes habitent mon travail. Ils sont les intermédiaires qui nous relient avec le royaume (intérieur) de l’inconscient collectif et le royaume (externe) de la nature.«
Zoe Williams – trophée rhynoceros / ART
Born in 1983 in New Orleans, LA, Zoë Williams holds a BA from the University of New Orleans and a Certificate in Fiber Art from the University of Washington. She currently lives and works in New York City. « Symbolize whatever grand or gracious thing he will by whiteness, no man can deny that in its profoundest idealized significance it calls up a peculiar apparition to the soul. »
-Herman Melville, Moby Dick Spirits, sacred creatures, and phantoms from the dream world inhabit my work. They are the intermediaries that connect us with the (inner) realm of the collective unconscious and the (outer) kingdom of nature.