Peintures de Corinne Brenner. (FR)
Découvrez ses différentes séries :
Swimmers, Sexy housewives, Tango, La plage, Femme nue, Nageuse, Pin-up, Julie, Scène festive
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Peintures de Corinne Brenner. (FR)
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C’est la belle vie pour ces cochons sauvages qui ont Ă©tĂ© introduits par des marins de passage qui pensaient qu’ils feraient une bonne source de nourriture. Cependant, les marins ne sont jamais revenus et maintenant tous les porcs vivent par et pour eux-mĂŞmes avec l’aide des plaisanciers. Les porcs sont intelligents et nagent pour rĂ©cupĂ©rer en partie l’excès de nourriture des yachts qui passent au large.
L’île aux cochons ou Big Major Cay (nom officiel), est dotée d’une source d’eau naturelle et est abritée par un chapelet d’îles voisines qui la protège des vagues provoquées par les tempêtes tropicales.
Source : Vegactu.com
L’EFT permet d’attĂ©nuer les douleurs physiques et Ă©motionnelles de manière rapide sans prendre de mĂ©dicaments et sans perdre son temps chez un psy ou autre…
De nombreux thérapeutes qui travaillent à la fois sur l’esprit et le corps utilisent l’EFT avec des résultats exceptionnels. Il y a dix ans, les praticiens de l’EFT étaient peu nombreux dans le monde et il n’en existait aucun en France. La belgique est quant à elle bien en avance sur le sujet.
Aujourd’hui, cette technique se dĂ©veloppe Ă l’hopital, aux urgences : utilisĂ©e dans le centre anti-douleur de Saint-Etienne, ainsi qu’Ă l’hĂ´pital Saint-Luc Saint-Joseph de Lyon par le Dr. Viviane Belleoud, mĂ©decin rééducateur et algologue, ou encore le Dr FrĂ©dĂ©ric ROSENFELD, MĂ©decin-Psychiatre (Clinique Lyon-Lumière Ă Meyzieu) applique lui aussi l’EFT et soigne rapidement trauma, phobies, telle que l’agoraphobie avec crises de panique sĂ©vères.
> Annuaire des praticiens Certifiés en France
>Â http://fr.wikipedia.org/wiki/Eft
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Frédéric Rosenfeld, médecin-psychiatrie :
l’EFT Ă la clinique Lyon-Lumière de Meyzieu« Je suis enthousiaste en songeant que l’EFT va faire son entrĂ©e dans la clinique dĂ©but 2011. »
-Tu utilises l’EFT depuis avril 2008 maintenant. J’aurais voulu savoir ce que tu en penses.– L’EFT Ă©panouit ma rĂ©flexion de psychiatre clinicien : j’arrive Ă formaliser les problèmes des patients de façon plus simple, de sorte que l’EFT soit rapidement opĂ©rante sur ces problèmes. C’est un gain de temps et d’énergie apprĂ©ciables, autant pour moi que pour le patient.
L’EFT a l’avantage de faciliter, de fluidifier les interactions entre le patient et le thérapeute. Le rapport de collaboration s’établit rapidement, dans quelque chose de volontiers convivial voire ludique. De plus, patient et praticien EFT émettent tous deux des hypothèses, et je trouve là un sens du partage que n’ont pas toutes les psychothérapies, comme l’EMDR ou la psychanalyse, par exemple. Par contre, les TCC – que je pratique – offre un tel rapport collaboratif.
Mais revenons à l’EFT : à la différence d’autres approches de soins, le patient d’EFT finit par être son propre thérapeute. Le praticien lui fait partager une technique afin qu’il la maîtrise et puisse s’auto-traiter – sauf dans des cas complexes bien sûr. C’est comme une course de relais !
Autre chose, encore : sous ses apparences simples, l’EFT se révèle être un outil d’épanouissement remarquable pour la créativité (celle du patient ; et celle du thérapeute). Là , siège le génie de toute chose simple : sous une apparente facilité, foisonne beaucoup d’inventivité et de créativité. Un exemple : un stylo est un objet simple, mais il offre à son propriétaire le choix de créer une infinité de textes ! De même, l’EFT est un outil simple, mais il s’offre en tant qu’outil de création à celui qui veut s’en emparer.
Pour finir, l’EFT stimule ma curiositĂ© : je ne sais toujours pas comment ça fonctionne ! Bien sĂ»r, on peut Ă©voquer les mĂ©ridiens de l’acupuncture ; on peut parler du Chi », cette « Ă©nergie » impalpable, non mesurable, et chère aux arts martiaux chinois. A travers ce mystère, il y a une Ă©nigme stimulante qui rend l’EFT intĂ©ressante, vivace, intrigante. Alors, que le mystère reste entier !
– Peux-tu me parler de la formation EFT que tu as suivie ?
– Il est important de souligner que l’étudiant en EFT n’est pas laissĂ© dans la nature après sa formation. Des supervisions et des intervisions sont prĂ©vues. Il y a mĂŞme un « Service après vente » puisque l’on peut te solliciter en tant qu’enseignante lorsqu’un cas s’avère difficile. Tout cela permet de rester up to date : Ă la pointe de l’actualitĂ©. Cela est sain, y compris pour l’EFT elle-mĂŞme, car cela la maintient vivante et dynamique.
Cette attitude pédagogique, qui est la tienne, est le meilleur garant d’une injection régulière de sang neuf dans l’EFT. En même temps que l’étudiant s’autorise à se remettre en question, par ricochet cela t’invite à te repositionner dans tes connaissances et ta pratique. Quelque chose circule : l’EFT se réactualise et demeure jeune.
Je recommande cette formation, content de l’enseignement. Au fil du temps, j’ai d’ailleurs observé ta propre évolution dans ta pratique, ta fluidité, ta façon de délivrer l’enseignement.
OĂą cela va-t-il nous mener ? Je pense Ă la formule de Gary Craig : « Nous sommes tous au rez-de-chaussĂ©e d’un gratte-ciel de la guĂ©rison, et il nous reste beaucoup Ă apprendre ». Je suis curieux de savoir le nombre d’Ă©tages de ce gratte-ciel et mĂŞme si… si ce nombre est fini. Mais ceci est une autre histoire.
MĂ©dicalement parlant, l’EFT reprĂ©sente une alternative intĂ©ressante aux mĂ©dicaments, en particulier les anxiolytiques et les antalgiques. L’intuition est souvent le fruit de l’expĂ©rience : pour mon cas, j’ai le ressenti que l’EFT pourrait se poser en tant que partenaire solide des antidĂ©presseurs dans le traitement des Ă©tats dĂ©pressifs, et mĂŞme des antipsychotiques pour le traitement des psychoses. Je m’appuie sur le souvenir d’une patiente dĂ©lirante chez qui j’ai pu interrompre le traitement antipsychotique par la seule EFT. Une autre personne avait amendĂ© son sentiment de dĂ©rĂ©alisation psychotique par l’EFT, en mĂŞme temps que son traitement Ă©tait allĂ©gĂ©. Mais il s’agit de deux cas seulement ! Aussi, avançons pas Ă pas : je cite ces perspectives comme des voies de recherche scientifiques, non comme des vĂ©ritĂ©s assĂ©nĂ©es.
Je rappelle que tu dis clairement ceci dans tes cours : l’EFT n’annule ni ne remplace le médecin et les médicaments. Il n’y a pas de rivalité à craindre. Je vois plutôt une entraide mutuelle et respectueuse, un partage de connaissances entre deux horizons différents – l’horizon des sciences biomédicales, et l’horizon des « médecines alternatives ». Il est bon d’encourager son déploiement.
– Est-ce que tu veux dire que depuis que tu fais de l’EFT, tu as modifiĂ© les traitements ? tu prescris moins ?
– Je suis partisan d’allĂ©ger les traitements autant qu’il est possible. Avec l’EFT, je peux me le permettre avec plus de facilitĂ© au sein de la clinique. L’EFT est comme un socle sur lequel les patients peuvent s’appuyer. En plus de la relaxation, de l’EMDR, des TCC, du sport, des groupes de psycho-Ă©ducation et du suivi psychothĂ©rapique – autant d’activitĂ©s que propose la clinique oĂą je travaille – l’EFT constitue une aide valable en parallèle des mĂ©dicaments.
– Tu as eu des retours par rapport aux patients qui viennent en consultation EFT ?
– Oui. De façon globale, ce qu’il en ressort c’est que le travail qu’ils font avec toi leur apparaĂ®t — et m’apparaĂ®t Ă moi aussi — comme un vĂ©ritable outil thĂ©rapeutique, qui les aide soit Ă mieux comprendre leur dĂ©tresse, soit bien sĂ»r Ă la dĂ©passer. De plus, ils apprĂ©cient dans l’EFT son caractère « naturel », en d’autres termes : non mĂ©dicamenteux ; mais aussi, sa douceur. Mais j’ai aussi des retours impatients de mes confrères soignants, de plus en plus dĂ©sireux de se former Ă l’EFT : ils sont intriguĂ©s et curieux, comme un enfant devant un cadeau amusant qu’il n’a pas encore ouvert. Cette joyeuse impatience dĂ©coule des bonnes choses que les patients rapportent aux infirmières, psychologues et psychiatres, de leur sĂ©ance d’EFT. Je suis enthousiaste en songeant que l’EFT a dĂ©jĂ fait son entrĂ©e dans la clinique au printemps 2011 , et que tu vas intervenir dans d’autres cliniques psychiatriques en France, pour former d’autres soignants. Je me rĂ©jouis d’avance de dĂ©couvrir leurs rĂ©actions lorsqu’ils dĂ©couvriront que l’EFT…ça marche !
Dr Frédéric ROSENFELD
Médecin-Psychiatre
Clinique Lyon-Lumière à Meyzieu>> Source : technique-eft.com
Visitez ma galerie macro
Nikon D300, Sigma 150 macro + Kenko 1.4 – {Drops poppies –Â Coquelicots dans gouttes d’eau}
#nikon  #macrophotography  #drops  #poppyphotography  #LilaVert
In the heart there’s no turning back
No rules or lies to hold me back
In the heart there’s no tomorrow
In the heart only pain and sorrow
In the heart I hear different sounds
Voices I’ve never heard before
In the heart there are strangers rooms
In the heart only pain and sorrow
In the heart there’s no illusion
Stripped clean and left without expression
You face yourself and face your sorrow
In the heart feel pain and sorrow
Opposition
intimacy 1983
[English New Wave trio from the suburbs of London, The Opposition was formed in 1979 around Marcus Bell and Mark Long]
Magnifiques cut paper sculptures de l’artist Rogan Brown (Irlande) qui peuvent pour certaines lui prendre 5 – 6 mois de travail.
« Mon travail est une exploration et une re-présentation des formes organiques naturelles à la fois minérales et végétales. Je cherche des modèles et des motifs répétés qui passent par des phénomènes naturels, à différentes échelles, du microscopique au macroscopique, à partir de cellules individuelles à des formations géologiques à grande échelle.
Je suis inspirĂ© en partie par la tradition du dessin scientifique et en particulier le travail des artistes-scientifiques tels que Ernst Haeckel. Mais mĂŞme si mon approche implique une observation attentive et dessins prĂ©paratoires dĂ©taillĂ©es « scientifiques » ceux-ci sont toujours remplacĂ©es par le travail de l’imagination, tout doit ĂŞtre rĂ©fractĂ©e Ă travers le prisme de l’imagination, aliĂ©nĂ© et en quelque sorte transformĂ©.
Je veux communiquer ma fascination pour l’immense complexitĂ© et l’intrication de formes naturelles et c’est pourquoi le processus derrière mon travail est si important. Chaque sculpture prend beaucoup de temps et de main-d’Ĺ“uvre et ce travail est un Ă©lĂ©ment essentiel non seulement dans la construction, mais aussi pour le sens de chaque pièce. J’ai choisi le papier comme support, car il reflète parfaitement ce mĂ©lange de dĂ©licatesse et de durabilitĂ© qui pour moi caractĂ©rise le monde naturel.
«Aux yeux de certains hommes, la Nature est l’imagination elle-mĂŞme « . William Blake
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My work plays with the architecture of nature and organic growth. By identifying patterns and motifs that occur in the natural world in different contexts and at different scales, both macroscopic and microscopic, I have developed a formal, aesthetic vocabulary that I use to construct hybrid sculptural forms, half real, half surreal.
DĂ©couvrez les sculptures « entre ciel et terre » de Jorge Mayet.Â
Originaire de Cuba, il vit actuellement en Espagne.
Mauvaise journée. Genoux égratignés. Rires méchants de la rousse laiteuse. Frissons au creux du ventre. Elle se bidonne, elle se tortille. Il grimace sous ce visage hilare. Et encore, grelots de rire derrière lui. Alors l’horizon est comme un gouffre.
De toute façon, la maison est aussi déglinguée que la vie. La télévision. Mais pas de chauffage. Alors, on regarde la télé à la cuisine. Et jamais rien ne change.Lui, il aime le grand air, l’arôme des arbres au printemps, les nuits étoilées, les chevreuils farouches et les petits oiseaux. Mais il n’aime pas le monde qui va si mal et qui fait si mal. Ce monde qui fouine, qui furète.
Le monde l’oblige à rester aux aguets, à ne pas se relâcher. Lui, il est sans malice. Il a pris le parti de ne pas envenimer les choses. Même s’il déprime. Même si le monde l’exaspère, qui va si mal quand il pourrait facilement aller bien. Lui, il voudrait ranger ce fatras, arranger le monde. Il a deux mots dans la tête : TOLÉRANCE et PARTAGE. Seulement, il a aussi les joues rondes et trois poils au menton. Alors, ces deux mots restent en lui, et il en fait des images, très précises, qui éveillent un sourire dans ses yeux, quand il s’allonge dans l’odeur des herbes jaunies au soleil.
Il regarde la ferme délabrée et songe qu’il aime son mal. Il est différent d’eux, qui l’entourent et l’asticotent, souvent, trop souvent. Mais il les aime parce qu’ils sont ce qu’il connaît. Ils sont son chaud au cœur. Il sent que sa porte est grande ouverte alors que la leur s’entrebâille à peine. Peut-être est-ce pour cela qu’il est aussi large, d’épaules et de cuisses, avec un cou de taureau, et des mains comme des battoirs… Il rêve de pouvoir huiler leurs gonds, raboter le bois qui a gonflé. Il rêve de portes ouvertes sur un air léger, sur un ciel bleu et paisible.
Lui, il ne veut pas se battre. Il ne peut pas considĂ©rer l’autre comme un ennemi. Oh ! il a dĂ©jĂ essayĂ© : il ne peut pas. Parce qu’un ĂŞtre humain n’est jamais d’un bloc, jamais uni. MĂŞme le plus salaud, il a des taches blanches. Ça doit ĂŞtre pour cela que les leaders d’extrĂŞme-droite ont ce succès : Ă cause des grains de vĂ©ritĂ© dans leurs mensonges. Mais lĂ , un autre mot arrive : DÉMAGOGIE. Et ce mot-lĂ le met en colère. Ce mot ferme sa porte. Il le chasse.Il ouvre les yeux et Ă©coute les craquements de l’air touffu. Il jouit de cet anĂ©antissement somptueux des champs sous la chaleur…
(illustration : Hugo Urlacher)
« L’horreur, ce n’est pas la mort, mais la vie que mènent les gens avant de rendre leur dernier soupir. Ils n’ont aucune considĂ©ration pour elle et ne cesse de lui pisser, de lui chier dessus. Des copulateurs sans conscience. Ils ne s’obsèdent que sur la baise, le cinoche, le fric, la famille, tout ce qui tourne autour du sexe. Sous leur crâne, on ne trouve que du coton. Ils gobent tout, Dieu comme la patrie, sans jamais se poser la moindre question. Mieux, ils ont vite oubliĂ© ce que penser voulait dire, prĂ©fĂ©rant abandonner Ă d’autres le soin de le faire. Du coton, vous dis-je, plein le cerveau ! Ils respirent la laideur, parlent et se dĂ©placent de manière tout aussi hideuse. Faites leur donc entendre de la bonne musique, eh bien ils se gratteront l’oreille. La majeure partie des morts l’Ă©taient dĂ©jĂ de leur vivant. Le jour venu, ils n’ont pas senti la diffĂ©rence. »
Bukowski
« Le capitaine est parti déjeuner et les marins se sont emparés du bateau »
Sebastien Schuller // Nightlife (Walter Sobcek Remix)
Ces instants.
Ces derniers instants qui n’ont pas de mot.
(when I was.)