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802 ArticlesTestez des typos online avec Typetester
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Les Dompteurs de Souris…
Site d’une Agence Québecoise. au design Responsive,
beau, simple et efficace.
Guide CFDT : Convention Collective des Entreprises Techniques au service de la Création & de l’Évènement
Guide CFDT : Convention Collective des Entreprises Techniques au service de la Création & de l’Évènement
Guide CFDT. Refonte 2012, 48 pages.
Technicien ou administratif, permanent ou intermittent, vous avez choisi de travailler dans le Spectacle. Au plus près du processus de création et de fabrication des oeuvres et des évènements, vous connaissez sans doute mal tous vos droits. Le fait d’être salarié donne des droits, même quand on est Intermittent. L’action de la CFDT se concentre sur cet objectif central : rappeler aux employeurs leur responsabilité vis-à-vis de leurs salariés, obtenir d’eux des droits à la hauteur des compétences et de l’engagement des personnels, quelle que soit leur catégorie ou leur statut.
Anne Hébert, Le Tombeau des rois, 1953
Il y a certainement quelqu’un
Qui m’a tuée
Puis s’en est allé
Sur la pointe des pieds
Sans rompre sa danse parfaite
A oublié de me coucher
M’a laissée debout
Toute liée
Sur le chemin
Le cœur dans son coffret ancien
Les prunelles pareilles
À leur plus pure image d’eau
A oublié d’effacer la beauté du monde
Autour de moi
A oublié de fermer mes yeux avides
Et permis leur passion perdue………………………….
(Anne Hébert, Le Tombeau des rois, 1953)
Nobody knows I’m a Fake
« Nobody knows I’m a Fake »,en vente sur RedBubble ou ComBoutique
l’IRCEC (l’organisme de retraite complémentaire relié à la MDA)
L’IRCEC (l’organisme de retraite complémentaire relié à la MDA) – envoie des relances et autres poursuites à certains artistes qui n’ont pas de droits ouverts, et ce, malgré les consignes données par le Ministère.
Donc, si vous êtes dans la procédure, consultez le lien du Snap qui traite de l’info :
http://snap-actions.posterous.com/tag/ircec

Excès de vitesse et identification du conducteur au moment de l’infraction
Et si t’étais au lit avec ta maitresse,
ton amant prouvera le contraire…
reprise de :
Selon un Arrêt de cassation de la Chambre criminelle de la Cour de cassation rendu le 18/09/2012, si le procès-verbal, qui fait foi jusqu’à preuve contraire, constate que le véhicule dont le prévenu est propriétaire a circulé à une vitesse excessive, il n’établit pas que celui-ci en fût le conducteur, dès lors qu’il n’y a pas eu d’interpellation au moment des faits. En conséquence, si le propriétaire du véhicule fournit la preuve qu’il travaillait (garde) le jour de l’infraction en fournissant le tableau élaboré par l’employeur indiquant qu’il était d’astreinte ce jour-là, ces éléments de preuve suffisent à établir qu’il n’était pas l’auteur véritable de l’infraction. En conséquence, l’amende n’est pas due.
Plan :
- Analyse de la décision de jurisprudence
- Arrêt de la Cour de cassation, Chambre criminelle, rendu le 18/09/2012, cassation (10-88027)
Analyse de la décision de jurisprudence
Après avoir reçu un PV pour excès de vitesse commis sur une autoroute (flashé à 136 km/h), le propriétaire du véhicule constate qu’au jour et heure de l’infraction supposée, il se trouvait sur son lieu de travail. Il décide de contester en justice l’amende de 135 euros prononcée à son encontre, en fournissant à l’appui de sa demande des éléments de preuve établissant qu’il était de garde le jour de l’infraction ainsi qu’un tableau de l’employeur indiquant qu’il était d’astreinte ce jour-là.
Le juge déclare le prévenu coupable d’excès de vitesse, au motif que les éléments de preuve n’établissaient pas qu’il n’était pas l’auteur véritable de l’infraction.
L’affaire est portée devant la Cour de cassation laquelle rappelle sous le visa de l’article 537 du Code de procédure pénale, l’article L121-3 du Code de la route que le Code de la route n’a institué à l’égard des propriétaires de véhicules, relativement à la contravention d’excès de vitesse, aucune présomption légale de culpabilité mais seulement une responsabilité pécuniaire à moins qu’ils n’établissent qu’ils ne sont pas les auteurs véritables de l’infraction.
Dès lors que le procès-verbal, qui fait foi jusqu’à preuve contraire, constate que le véhicule dont le prévenu est propriétaire circulait à une vitesse excessive, il n’établit pas que celui-ci en fût le conducteur, dès lors qu’il n’y a eu aucune interpellation. Le propriétaire du véhicule peut donc contester le PV en présentant des éléments prouvant qu’il ne pouvait pas être le conducteur coupable de l’excès de vitesse au moment des faits.
Arrêt de la Cour de cassation, Chambre criminelle, rendu le 18/09/2012, cassation (10-88027)
Statuant sur le pourvoi formé par M. Alain X…, contre le jugement de la juridiction de proximité d’Antony, en date du 21 septembre 2010, qui, pour excès de vitesse, l’a condamné à 135 euros d’amende ;
Vu le mémoire personnel produit ;
Sur le moyen unique de cassation, pris de la violation des articles L121-3, R413-14 du Code de la route,427, 537 et 593 du Code de procédure pénale ;
Vu l’article 537 du Code de procédure pénale, l’article L121-3 du Code de la route ;
Attendu que le Code de la route n’a institué à l’égard des propriétaires de véhicules, relativement à la contravention d’excès de vitesse, aucune présomption légale de culpabilité mais seulement une responsabilité pécuniaire à moins qu’ils n’établissent qu’ils ne sont pas les auteurs véritables de l’infraction ;
Attendu que l’automobile, dont M. X… est propriétaire, a été contrôlée le 12 avril 2009 alors qu’elle circulait à 136 km/h, la vitesse étant limitée à 130 km/h ; que le contrôle s’est accompagné de la prise de deux photographies ne permettant pas l’identification du conducteur du véhicule et n’a été suivi d’aucune interpellation ; que l’avocat de M. X…, entendu à l’audience sur ces faits, a contesté que le prévenu puisse être l’auteur de l’infraction ;
Attendu que, pour déclarer le prévenu coupable d’excès de vitesse, le jugement attaqué énonce qu’il résulte des pièces du dossier et des débats que les faits sont établis, les éléments de preuve rapportés par le prévenu selon lesquels il était de garde le jour de l’infraction ainsi qu’un tableau indiquant qu’il était d’astreinte ce jour-là n’établissant pas qu’il n’était pas l’auteur véritable de l’infraction ;
Mais attendu qu’en prononçant ainsi, alors que, si le procès-verbal, qui fait foi jusqu’à preuve contraire dans les conditions prévues par l’article 537 du Code de procédure pénale, constatait que le véhicule dont le prévenu est propriétaire circulait à une vitesse excessive, il n’établissait pas que celui-ci en fût le conducteur, la juridiction de proximité a méconnu les textes susvisés et le principe ci-dessus rappelé ;
D’où il suit que la cassation est encourue ;
Par ces motifs :
Casse et annule, en toutes ses dispositions, le jugement susvisé de la juridiction de proximité d’Antony, en date du 21 septembre 2010, et pour qu’il soit à nouveau jugé, conformément à la loi,
Renvoie la cause et les parties devant la juridiction de proximité de Vanves, à ce désignée par délibération spéciale prise en chambre du conseil ;M. Louvel, Président
© 2012 Net-iris
Le «lancer de chats» de l’artiste Jan Fabre, Belgique
Où comment atteindre le summum de la connerie humaine…
mais on n’est plus à ça près.
Le plasticien flamand Jan Fabre, adepte de la provocation, est au coeur d’une polémique à la suite d’une performance montrant un «lancer de chats» dans l’Hôtel de ville d’Anvers (nord de la Belgique), qui lui a valu d’être physiquement agressé.
C’est la vidéo d’une performance de l’artiste, dans laquelle on voit plusieurs personnes en train de lancer des chats en l’air, dont certains retombent lourdement sur les marches de l’Hôtel de ville, qui a suscité la polémique, rapportent vendredi des médias belges. Jan Fabre s’est excusé publiquement. «Je regrette vivement que ces chats soient mal retombés. Je veux m’excuser auprès des amis des chats. Ce n’était pas mon intention de blesser ou faire mal aux chats. Les chats vont bien», a-t-il dit à la télévision publique néerlandophone VRT. Mais il a aussi minimisé l’incident. «J’ai l’impression qu’on a voulu faire du sensationnalisme et que c’est exagéré», a-t-il dit dans une interview diffusée par la RTBF, l’équivalent francophone de la VRT.
Jan Fabre a été agressé physiquement à la suite de la diffusion de cette vidéo, et est sous protection policière. «J’ai dû courir pour sauver ma vie», a-t-il témoigné, disant dormir «depuis trois, quatre jours à des adresses différentes». Internationalement reconnu, l’artiste a fait de la provocation son fonds de commerce. Il a déjà créé une performance montrant un concours de masturbation. Il avait acquis une certaine notoriété en France en 2005 au festival d’Avignon avec des pièces évoquant le sang et l’urine. Il a depuis été «artiste invité» au Louvre. Il expose actuellement une série d’autoportraits intégrés dans les salles de sculpture classique du musée des Beaux-arts de Bruxelles.
Source : La Voix Du Nord
Patrick Watson au Trianon /Paris le 3O octobre 2o12
En écoute sur le site de FIP jusqu’au 6 nov. 2o12.
(apres il faudra me demander la piste)
Les Cahiers de Malte Laurids Brigge // Rainer Maria Rilke
Pour écrire un seul vers, il faut avoir vu beaucoup de villes, d’hommes et de choses, il faut connaître les animaux, il faut sentir comment volent les oiseaux et savoir quel mouvement font les petites fleurs en s’ouvrant le matin. Il faut pouvoir repenser à des chemins dans des régions inconnues, à des rencontres inattendues, à des départs que l’on voyait longtemps approcher, à des jours d’enfance dont le mystère ne s’est pas encore éclairci, à ses parents qu’il fallait qu’on froissât lorsqu’ils vous apportaient une joie et qu’on ne la comprenait pas ( c’était une joie faite pour un autre ), à des maladies d’enfance qui commençaient si singulièrement, par tant de profondes et graves transformations, à des jours passés dans des chambres calmes et contenues, à des matins au bord de la mer, à la mer elle-même, à des mers, à des nuits de voyage qui frémissaient très haut et volaient avec toutes les étoiles – et il ne suffit même pas de savoir penser à tout cela. Il faut avoir des souvenirs de beaucoup de nuits d’amour, dont aucune ne ressemblait à l’autre, de cris de femmes hurlant en mal d’enfant, et de légères, de blanches, de dormantes accouchées qui se refermaient. Il faut encore avoir été auprès de mourants, être resté assis auprès de morts, dans la chambre, avec la fenêtre ouverte et les bruits qui venaient par à-coups. Et il ne suffit même pas d’avoir des souvenirs. Il faut savoir les oublier quand ils sont nombreux, et il faut avoir la grande patience d’attendre qu’ils reviennent. Car les souvenirs ne sont pas encore cela. Ce n’est que lorsqu’ils deviennent en nous sang, regard, geste, lorsqu’ils n’ont plus de nom et ne se distinguent plus de nous, ce n’est qu’alors qu’il peut arriver qu’en une heure très rare, du milieu d’eux, se lève le premier mot d’un vers.
Tortoza // Beautiful
Un parfum de Schuller… Suivre sur SoundCloud ou sur FB
L’homme qui aimait ma femme de Simonetta Greggio
« Il y a toujours un moment où on a le choix. Parfois on se rend compte que notre vie en sera changée, mais d’autres fois on ne voit même pas à quel instant ça dérape.«
Derrière un grand homme , se cache souvent un tyran et un enfant blessé. Derrière une pensée pure, l’impureté de la vie dans sa banalité. Derrière une certitude proclamée, la fêlure qui l’a mise au monde.











